La blockchain pour les nuls

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Ce nouveau mot que l’on peut traduire par « chaine de blocs » en français est une technologie permettant le stockage et la transmission d’informations et de transactions . C’est une base de données mondiale partagée entre plusieurs utilisateurs.

En clair, c’est un grand livre qui enregistre des faits, des informations et des transactions, de manière sécurisée, grâce à l’utilisation de procédés cryptographiques. Ces données sont réputées inaltérables, et peuvent être partagées à qui on le souhaite. L’ensemble des données de la chaîne sont distribuées par bloc.

 

Comment imaginez le monde de demain avec cette technologie ?

La blockchain 2.0 est apparue récemment et ouvre de nouvelles portes vers des secteurs largement plus divers que la finance. Le secteur de l’énergie, au front pour limiter un trop fort réchauffement de la planète, offre un champ immense d’applications et d’expérimentation qui vont profiter largement à tous les autres secteurs et accélérer les mutations en cours. La blockchain est un catalyseur de la transition énergétique mais aussi d’une autre forme d’intelligence collaborative qui va se mettre en place. (l‘observatoire de la blockchain) .

Tout comme Internet a été le premier réseau non contrôlé par une entité en particulier, la Blockchain est la première technologie d’infrastructure de données totalement ouverte et non contrôlée par une seule entité. Son impact pourrait donc être de même ampleur que celui d’Internet pour l’économie, en faisant tomber pour de nombreux agents économiques les barrières à l’entrée de plusieurs secteurs d’activité.

Le caractère décentralisé de la Blockchain, couplé avec sa sécurité et sa transparence, permet des applications bien plus larges que le domaine monétaire.

 

On peut classer l’utilisation de la Blockchain en trois catégories :

 

  • Les applications pour le transfert d’actifs (utilisation monétaire, mais pas uniquement: titres, votes, actions, obligations…).
  • Les applications de la Blockchain en tant que registre : elle assure ainsi une meilleure traçabilité des produits et des actifs.
  • Les smart contracts : il s’agit de programmes autonomes qui exécutent automatiquement les conditions et termes d’un contrat, sans nécessiter d’intervention humaine une fois démarrés
 

Comme toute nouvelle technologie, on peut la rendre ésotérique ou bien par quelques exemples faire comprendre sa proximité avec de nombreuses choses avec lesquelles nous sommes familiers comme le langage ou l’internet. Essayons d’y voir plus clair.

 

En savoir plus sur les I.C.O

 

« La forte consommation d’énergie, une technologie énergivore »

 

De nombreuses critiques émergent !

 

Les analystes les plus écologiques s’inquiètent. Ils ne partagent pas l’enthousiasme de certains de leurs confrères. Cette technologie nécessite une forte consommation d’énergie.

Selon les chercheurs de l’institut Mines Télécom (IMT), la généralisation de l’activité de minage de la blockchain, nécessiterait une consommation d’énergie égale à 100 fois la puissance utilisée aujourd’hui par l’ensemble des serveurs de Google. Autre Indicateur, pour bien fonctionner, la chaine de bloc a besoin d’une consommation électrique égale à deux fois celle des Etats-Unis.

MOTS CLEFS 

 

« Token« , ou « jeton«  en français va changer notre perception du monde et des échanges entre les personnes et les organisations. Ce mot encore peu utilisé à a part dans les casinos est sorti il y a un an et demi des pays anglo-saxons.

 

A chaque projet créé grâce à la Blockchain, on fabrique un token qui est une unité de compte, que l’on certifie et authentifie avec la blockchain. Cette information infalsifiable éprouvé depuis par le bitcoin depuis 8 ans, peut être de multiples natures : un transfert de propriété, une transaction effectuée entre deux personnes.

 

Cryptographie : la cryptographie est un ensemble de procédés visant à crypter des informations pour en assurer la confidentialité entre l’émetteur et le destinataire.

 

Minage : le minage est une opération technique permettant de valider un ensemble de transactions à l’intérieur d’un bloc.

 

Ainsi, le bitcoin n’obéit qu’aux règles de l’environnement informatique dans lequel cette “monnaie virtuelle” évolue. Par conséquent, le marché du bitcoin est volatil, et donc risqué pour des néophytes qui n’ont pas de connaissances en la matière ou qui sont mal renseignés. Le prix du bitcoin peut varier à la hausse comme à la baisse très rapidement, ce qui le rend imprévisible. En quelques mots : l’investisseur peut perdre tout ou partie de son argent !

Il convient donc de faire attention à ce niveau et de vérifier, par exemple, que l’intermédiaire en bitcoins dispose d’un agrément de prestataire de paiement délivré par l’ACPR. C’est une qualité professionnelle requise, vu que le bitcoin ne dispose pas des garanties offertes par les banques centrales, et qu’il ne protège en aucun cas l’investisseur en cas de faillite de l’intermédiaire.

Les autorités rappellent également qu’en France, seul l’euro a cours légal selon l’article L.111-1 du Code monétaire et financier : ainsi, même s’il est possible de l’accepter comme moyen de paiement, il est également possible de refuser un paiement en bitcoin.

 

Pour tout savoir, RDV sur Blockchain France.

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